Dans cet article de la Harvard Business Review, Jennifer Jordan est allée creuser les atouts de ces « Shadow Boards ».  Organes consultatifs constitués de jeunes collaborateurs prometteurs, ils ont fait leur preuve dans bon nombre de grands groupes comme notamment Gucci ou AccorHotels, cités dans l’article.

 Vectrices de dynamisme mais aussi de rétention des jeunes talents, ces instances ont convaincu ! Une initiative qui pousse dans les grands groupes… et si on en parlait dans les PME de Suisse Romande ?

Why You Should Create a “Shadow Board” of Younger Employees (hbr.org)